Les espèces envahissantes

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Les activités humaines peuvent entre autres induire des déséquilibres dans les écosystèmes au travers des organismes vivants qui les accompagnent. De plus, certaines espèces présentent un caractère invasif. Au niveau mondial, c'est la deuxième cause de perte de biodiversité, derrière la destruction des habitats
 
 

 

 

 Les impacts biologiques des activités humaines peuvent être liés aux êtres vivants qui les accompagnent.

 Certaines espèces envahissantes sont tristement connues pour les dommages qu'elles engendrent : la jussie, le myriophille aquatique, l'ambroisie à feuilles d'armoise, le ragondin, l'écrevisse américaine. La lutte contre ces espèces est parfois organisée, et leur propagation est surveillée (par exemple le frelon asiatique).

 

 

 

Les espèces envahissantes concurrencent souvent les espèces locales, parfois jusqu'à leur disparition. Elles peuvent également générer des dommages physiques sur les réseaux hydrographiques (fragilisation des berges par les ragondins ou l'écrevisse américaine), ou même générer des problématiques sanitaires (pollen allergène de l'Ambroisie à feuilles d'armoise - voir site régional dédié à l'Ambroisie). 

 

 On recense sur la région plus d'une quarantaine d'espèces envahissantes (voir la liste nationale des végétaux ; liste nationale des animaux), dont certaines restent utilisées à titre ornemental (Arbre à papillons, Mimosa des fleuristes...). Hormis les espèces les plus problématiques, on connaît mal l'ampleur de leur propagation au sein de la région.